"Panique a Kinshasa", BD d'Asimba Bathy
Vous
aurez entendu sur les ondes de radios d’informations internationales notamment
que la semaine passée a été très agitée à Kinshasa. L'internet et l'option texto sur les téléphones portables ont été coupés, seule la premiere a été rétablie à ce jour et encore pas partout en ville.
Compte tenu de mon droit de réserve, je ne peux commenter l’actualité politique en RDC et encore moins m’étendre sur le sujet dans le cadre d’un blog. C’est pourquoi je vous mets sur le bandeau défilant à gauche quelques sites d’information- dont le blog de Colette Braeckman, journaliste au quotidien belge Le soir, qui vous permettent d’en savoir plus sur ce qui se passe -dans la mesure du possible- lorsque vous entendez des nouvelles peu encourageantes sur notre pays hôte.
Compte tenu de mon droit de réserve, je ne peux commenter l’actualité politique en RDC et encore moins m’étendre sur le sujet dans le cadre d’un blog. C’est pourquoi je vous mets sur le bandeau défilant à gauche quelques sites d’information- dont le blog de Colette Braeckman, journaliste au quotidien belge Le soir, qui vous permettent d’en savoir plus sur ce qui se passe -dans la mesure du possible- lorsque vous entendez des nouvelles peu encourageantes sur notre pays hôte.
Il
se trouve qu’au moment du démarrage des troubles, je m’envolais pour
Lubumbashi, capitale de la riche province du Katanga en empruntant la route
aérienne décidée ce jour par la MONUSCO, à savoir une escale à Goma et à Kalemie, bref presque 10 heures de
voyage dans les airs et les petits aéroports de la force de maintien de la paix
en RDC alors que la ligne commerciale Korongo ne met pas plus de 3 heures….
J’étais donc loin et les informations me provenaient par bribes que, en gros, ça
chauffait.
Aziyadée est rentrée de l’école et n’est plus repartie de la semaine. Renwick a été assigné à domicile avec les enfants, interdiction de sortir du compound. Lockdown. Drôle pour personne. Quant à moi, je ne suis rentrée à Kinshasa que lorsque tout etait terminé, le dimanche 25 apres un stop-over d'un week-end à Nairobi. Un ange passe.
Aziyadée est rentrée de l’école et n’est plus repartie de la semaine. Renwick a été assigné à domicile avec les enfants, interdiction de sortir du compound. Lockdown. Drôle pour personne. Quant à moi, je ne suis rentrée à Kinshasa que lorsque tout etait terminé, le dimanche 25 apres un stop-over d'un week-end à Nairobi. Un ange passe.
Evidemment,
on aimerait bien que cela ne se reproduise pas de sitôt et si la situation est redevenue
normale, on se prépare quand même à prendre la poudre d’escampette avec l’essentiel,
à savoir nos 3 bouts de chou sous le bras et le contenu du sac d’évacuation résumé
ci-dessous.
Mais ne vous inquiétez pas TOUT VA BIEN !
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