Y a des jours, des
matins, on aimerait juste être avec les enfants, les copains, les gens qu'on
connait pas mais qu'on remercie intérieurement d'être là, dans la
rue, sur les places, au coude à coude, au milieu de la foule, debout, un,
une parmi mille, uniques et interchangeables à la fois pour dire non, pour
continuer à rire -parce qu'ils nous ont fait tant rire- pour se sentir
vivants, résolus, fraternels, intelligents, unis, et malgré tout, plein d’espoirs.
De Kinshasa,
"nazali Charlie".
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