9 juin 2015

Mud


A la taille de Barnabé et Circé un banc de sable du fleuve Congo ressemble fort à une ile déserte et c’est donc dans le plus simple appareil que les petits jouent aux Robinson Crusoé entre roseaux et jacinthes d’eau. Et quand une flaque de vase se niche dans le creux des ondulations sablonneuses, c’est l’éclate assurée : « la gadoue, la gadoue, la gadoue »









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